Cassiopeia
More than 325 years after Tycho Brahé we observe the gas remnants of the star that are still bustling. A massive light ray dated from only 1953 has been observed. Surrounding the nebulae there is the depiction of the silicon fusion.
More than 325 years after Tycho Brahé we observe the gas remnants of the star that are still bustling. A massive light ray dated from only 1953 has been observed. Surrounding the nebulae there is the depiction of the silicon fusion.
Cassiopée (2006 - 89 x 116 cm - Huile sur toile - 1 700 €)
Cette œuvre m’a été inspirée par le livre Astronomie et Astrophysique de Seguin Villeneuve ainsi que par des articles sur les revues suivantes : Ciel et Espace n° 423 août 2005 et Dossier pour la Science hors série octobre/décembre 2004.
Ciel et Espace pages 50 -51 : Plus de 325 ans après Tycho Brahé nous observons les restes gazeux de l’étoile toujours agités. Le télescope infrarouge Spitzer a repéré au sein de la nébuleuse un énorme écho de lumière, témoin d’une explosion datant seulement de 1953 ! Quelle est la nature véritable du résidu stellaire ? Il est probable que la bulle de gaz abrite un magnétar, une étoile à neutrons éruptive et tremblante qui libère régulièrement des bouffées de rayons gamma.
Astronomie et Astrophysique page 231 : aux quatre angles de l’œuvre est représentée la fusion du silicium, expulsé de la nébuleuse : avec un noyau d’hélium à chaque étape le silicium mène graduellement au fer 56. L’hélium 4 est représenté par les petits noyaux, le silicium et le fer par les gros noyaux. Les électrons tournent en petites billes bleues et ondes jaunes entre les noyaux d’atomes. Certains électrons sont arrachés des noyaux, d’autres sont capturés par des noyaux, l’atome est alors « excité » avec émission de lumière : il y a alors ionisation de l’atome.
Page 158 : entre les quatre angles et entourant la nébuleuse sont représentés à hautes températures les collisions des électrons avec les photons : l’électron absorbe alors une partie de l’énergie du photon sous forme d’énergie cinétique ou énergie de mouvement.
Dossier pour la Science page 38 : entourant la nébuleuse figurent en petites billes roses bleues ou violettes les neutinos, particules de très petite masse et produisant plusieurs intéractions : nucléaire faible, nucléaire forte, électromagnétique et gravitationnelle. Page 102, ici en bleu un électron change d’identité sous l’effet du boson W particule médiatrice symbolisée par une ligne ondulatoire jaune. L’électron se mue alors en neutrino électronique en colori rose.
Ciel et Espace pages 50 -51 : Plus de 325 ans après Tycho Brahé nous observons les restes gazeux de l’étoile toujours agités. Le télescope infrarouge Spitzer a repéré au sein de la nébuleuse un énorme écho de lumière, témoin d’une explosion datant seulement de 1953 ! Quelle est la nature véritable du résidu stellaire ? Il est probable que la bulle de gaz abrite un magnétar, une étoile à neutrons éruptive et tremblante qui libère régulièrement des bouffées de rayons gamma.
Astronomie et Astrophysique page 231 : aux quatre angles de l’œuvre est représentée la fusion du silicium, expulsé de la nébuleuse : avec un noyau d’hélium à chaque étape le silicium mène graduellement au fer 56. L’hélium 4 est représenté par les petits noyaux, le silicium et le fer par les gros noyaux. Les électrons tournent en petites billes bleues et ondes jaunes entre les noyaux d’atomes. Certains électrons sont arrachés des noyaux, d’autres sont capturés par des noyaux, l’atome est alors « excité » avec émission de lumière : il y a alors ionisation de l’atome.
Page 158 : entre les quatre angles et entourant la nébuleuse sont représentés à hautes températures les collisions des électrons avec les photons : l’électron absorbe alors une partie de l’énergie du photon sous forme d’énergie cinétique ou énergie de mouvement.
Dossier pour la Science page 38 : entourant la nébuleuse figurent en petites billes roses bleues ou violettes les neutinos, particules de très petite masse et produisant plusieurs intéractions : nucléaire faible, nucléaire forte, électromagnétique et gravitationnelle. Page 102, ici en bleu un électron change d’identité sous l’effet du boson W particule médiatrice symbolisée par une ligne ondulatoire jaune. L’électron se mue alors en neutrino électronique en colori rose.